Câbles sous-marins
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Si à terre, les réseaux nationaux de fibre optique suivent généralement les infrastructures comme autoroutes ou voies ferrées, les câbles sous-marins transportent plus de 95 % du réseau mondial.
Possédés à la majorité par les GAFAM, ils constituent un enjeu géopolitique primordial.
Les chinois considèrent la maîtrise de l’information comme un enjeu de sécurité nationale et mettent en place une route de la soie numérique.
Marseille, le hub français des câbles sous-marin, a été la cible de plusieurs sabotages ces dernières années.[1]
Références[modifier]
https://www.letemps.ch/economie/cyber/route-soie-numerique-nouveau-peril-chinois
Asma Mhalla : "La première couche c’est la couche d’infrastructures matérielles. C’est là qu’on va trouver les câbles sous-marins, les satellites en orbite basse type Starlink, mais pas qu’en orbite basse d’ailleurs, les terminaux, les serveurs, les datacenters. C’est la structure physique parce que l’économie numérique est d’abord une économie tout sauf virtuelle. Elle est fondamentalement matérielle et, par ailleurs, polluante, entre parenthèses."[2]
- ↑ https://siecledigital.fr/2024/03/15/lacces-a-internet-est-toujours-perturbe-en-afrique-de-louest-apres-un-incident-affectant-plusieurs-cables-sous-marins/ L’accès à Internet est toujours perturbé en Afrique de l’Ouest après un incident affectant plusieurs câbles sous-marins
- ↑ https://www.librealire.org/etats-big-tech-les-liaisons-dangereuses-asma-mhalla